• Le 4 novembre prochain c'est un métis (et non un "noir" comme on le dit souvent) de noirs et de blancs, de chrétiens et de musulmans (sa famille est musulmane du côté de son père africain, chrétienne du côté de sa mère blanche), qui va devenir le président de la première puissance mondiale !
    quel beau symbole de paix, de réconciliation, de fraternité et d'égalité!
    enfin espérons qu'il va le devenir...en tout cas, s'il n'était pas élu, nous saurions que le racisme a parlé dans les isoloirs !
    C'est un signe des Temps : l'humanité est une, nous sommes tous semblables, tous frères et soeurs... métissons nous, il n'y a pas d'autre solution...pourquoi continuer à former des groupes, des nations, des peuples, des tribus, ou des religions séparées ?
    La séparation c'est l'apartheid, le racisme, et cela conduit au génocide, comme en Allemagne en 1942, ou au Rwanda...
    quelle est la solution au problème apparemment insoluble d'Israel-Palestine ?
    il est dans la formation d' un seul peuple de frères égaux : et pour cela il est absolument nécessaire que les familles arabes et juives s'unissent par des mariages mixtes...les jeunes femmes arabes musulmanes ou chrétiennes doivent être accordées à des jeunes juifs, et les jeunes juives à des arabes musulmans ou chrétiens...
    si une autre voie est choisie, alors ce sera la guerre et le chaos....et Israel-Palestine n'est qu'un symbole du monde !
    si l'humanité ne se métisse pas elle disparaitra avant un siècle
    "Le monde c'est comme une mobylette : pour avancer il lui faut du mélange"

    1 commentaire
  • La religion, ce qui doit relier et unifier l'humanité, ne peut être que la philosophie basée sur la science... et Dieu, s'il doit être Dieu et non une idole raciste et sanguinaire, ne peut être que le Dieu des philosophes et des savants.... et non pas le Dieu d'Abraham-Ibrahim, moins encore les idoles païennes de l'hindouisme....
    voir :
     
    et ces paroles prononcées en 1928 à la société française de philosophie, sont prophétiques :
     
    "le drame de la conscience religieuse depuis trois siècles est défini avec précision par les termes du Mémorial de Pascal du 23 novembre 1654 : entre le Dieu qui est celui d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, et le Dieu qui est celui des philosophes et des savants, les essais de synthèse, les espérances de compromis, demeurent illusoires"


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