• Un groupe de mathématiciens juifs travaillant aux USA est parvenu à percer les mystères du Coran, qui sont ceux des mystérieux "codes" de lettres isolées en tête de 29 sourates : alif lam mim en tête de la Sourate 2, etc...

    Le Coran véritable est juif, et il ne fait que confirmer la Torah : il consiste en les 78 lettres des "codes" en tête de 29 sourates, et en les 19 lettres de la basmalah, premier verset de la Sourate Al Fatiha.

    Ce sont des Lettres-Nombres, au nombre de 97, qui sont les Idées de Dieu, les "briques" de la Création !

    Voir ces révélations sur le blog "Recherche de la Vérité" :

    http://recherchedelaverite.wordpress.com/2010/10/29/roue-1326-3/

    http://recherchedelaverite.wordpress.com/2010/10/26/le-coran-veritable-juif-et-non-pas-musulman-reduit-aux-97-lettres-de-la-basmalah-et-des-codes-en-tete-de-29-sourates/

    Ceci revient à démontrer scientifiquement que l'Islam spirituel , l'Islam des philosophes et des savants, est la même chose que le judeo-christianisme.

    Le faux Islam, l'Islam mohammadien, basé sur le Faux Coran, est issu d'une incompréhension qui a causé une rupture, puis une guerre, entre juifs (les véritables détenteurs de la science divine qui consiste en la compréhension des 97 Idées-Lettres-Nombres du Coran véritable)  et "musulmans".

    Nul doute que cette Révélation bouleversante ne change la face du monde !


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  • Si le Dieu de la non-philosophie est celui du Mémorial de Pascal (puisque celui ci déclare lui même vouloir sortir de la philosophie):

     http://www.bibleetnombres.online.fr/memorial.htm

    «L'an de grâce 1654,

    Lundi 23 novembre, jour de Saint Clément, pape et martyr, et autres au Martyrologue,

    Veille de saint Chrysogone, martyr, et autres,

    Depuis environ dix heures et demie du soir jusqu'à environ minuit et demie.

    FEU

    Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob,

    non des philosophes et des savants. »

    Si la thèse défendue par Brunschvicg en 1928 lors de la querelle de l'athéisme est vraie, à savoir qu'il ne peut y avoir aucun accomodement (raisonnable ou pas Mort de rire) entre le Dieu d'Abraham et le Dieu des philosophes et des savants;

    Si, comme le soutient encore Brunschvicg, l'apparition de la physique mathématique au 17 ème siècle (chez Descartes et Newton, mais sous condition du traité des Révolutions de Copernic en 1543, d'où le sous-titre de ce blog) correspond à un changement d'axe de la vie religieuse, et en somme à l'apparition dans l'histoire de la pensée de la Vérité, à savoir que Dieu, le dieu des philosophes et des savants, ne peut jamais apparaitre ni "agir" dans l'Histoire...

    si l'on admet , comme celui qui écrit ces lignes, ces trois points...

    alors il s'agit certainement de prendre au sérieux ce nouvel axe, appelé par nous aussi Mathesis universalis, qui est en somme l'accès à l'absolu, et d'en finir avec tout le reste (poème, roman, cinéma, art, politique, amour etc.. et aussi, disons le tout net, une bonne partie de ce qui se dit "philosophique", surtout après 1945).... tout le reste qui n'est que littérature !

    Ceci nous permet aussi, entre autres, d'en finir à l' instant même, d'un claquement de doigts en quelque sorte, avec Badiou et sa philosophie "sous condition de la politique, de l'amour, du poème et du mathème".... on préfèrera s'adresser directement aux topoi, aux catégories  et aux ensembles, sans passer par cet "intermédiaire" un peu gênant, pour tout dire Clin d'oeil

    La philosophie n'est certes pas créatrice de vérités, nous sommes bien d'accord, mais c'est parce qu'elle est acheminement infini de l'âme vers la Vérité, sous condition de la seule mathesis (plutôt que mathème).

    Et nul besoin ici, pour une fois, pour la seule fois, de fastidieuses "démonstrations" ! les démonstrations sont les yeux de l'âme, pour qu'elle s'oriente sur la route, mais elles ne peuvent créer la route...

    il nous suffit , pour nous "justifier", d'admettre les trois présupposés énoncés plus haut...et que le feu du ciel nous carbonise à l'instant même si nous les rejetons, pauvres personnages qui n'aurons pas su ni pu porter notre désir essentiel du bas-ventre jusqu'au cerveau...Horreur !

    Des blogs à vocation "généraliste" sur le Dieu des philosophes et des savants sont maintenant disponibles:

      http://conversionspirituelle.over-blog.com

      http://sedenion.blogg.org

     http://conversionspirituelle.wordpress.com


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  • Le 4 novembre prochain c'est un métis (et non un "noir" comme on le dit souvent) de noirs et de blancs, de chrétiens et de musulmans (sa famille est musulmane du côté de son père africain, chrétienne du côté de sa mère blanche), qui va devenir le président de la première puissance mondiale !
    quel beau symbole de paix, de réconciliation, de fraternité et d'égalité!
    enfin espérons qu'il va le devenir...en tout cas, s'il n'était pas élu, nous saurions que le racisme a parlé dans les isoloirs !
    C'est un signe des Temps : l'humanité est une, nous sommes tous semblables, tous frères et soeurs... métissons nous, il n'y a pas d'autre solution...pourquoi continuer à former des groupes, des nations, des peuples, des tribus, ou des religions séparées ?
    La séparation c'est l'apartheid, le racisme, et cela conduit au génocide, comme en Allemagne en 1942, ou au Rwanda...
    quelle est la solution au problème apparemment insoluble d'Israel-Palestine ?
    il est dans la formation d' un seul peuple de frères égaux : et pour cela il est absolument nécessaire que les familles arabes et juives s'unissent par des mariages mixtes...les jeunes femmes arabes musulmanes ou chrétiennes doivent être accordées à des jeunes juifs, et les jeunes juives à des arabes musulmans ou chrétiens...
    si une autre voie est choisie, alors ce sera la guerre et le chaos....et Israel-Palestine n'est qu'un symbole du monde !
    si l'humanité ne se métisse pas elle disparaitra avant un siècle
    "Le monde c'est comme une mobylette : pour avancer il lui faut du mélange"

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  • La religion, ce qui doit relier et unifier l'humanité, ne peut être que la philosophie basée sur la science... et Dieu, s'il doit être Dieu et non une idole raciste et sanguinaire, ne peut être que le Dieu des philosophes et des savants.... et non pas le Dieu d'Abraham-Ibrahim, moins encore les idoles païennes de l'hindouisme....
    voir :
     
    et ces paroles prononcées en 1928 à la société française de philosophie, sont prophétiques :
     
    "le drame de la conscience religieuse depuis trois siècles est défini avec précision par les termes du Mémorial de Pascal du 23 novembre 1654 : entre le Dieu qui est celui d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, et le Dieu qui est celui des philosophes et des savants, les essais de synthèse, les espérances de compromis, demeurent illusoires"


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  • Prenons, face à ce qu'il est convenu d'appeler les "évènements" du 11 septembre 2001, l'attitude de doute radical qui est celle de Descartes dans les Méditations et le Discours de la Méthode.

    Certes nous pourrions aller très loin dans cette voie, aussi loin que Descartes lui même, jusqu'au bout : jusqu'à ce point où nous ne savons plus si New york, Al Qaida, l'Islam, Israel, la Terre ....existent "réellement" ou sont des rêves que nous inspire un "Malin génie".

    Peut être ce blog est il aussi de l'étoffe dont sont faits les songes...Mort de rire

    Mais nous n'avons pas à nous donner cette peine car nous savons (si nous avons lu Descartes) que "le gué a été trouvé" par le héros de la pensée qui s'est engagé dans cette voie il y a près de 4 siècles; nous savons que le Dieu vérace, le Dieu des philosophes et des savants, le Dieu de l'Islam spirituel, garantit la vérité du cogito, de la Mathesis universalis, puis de la physique mathématique, et par voie dérivée la possibilité de parvenir à des vérités intersubjectives sur l'Histoire (je dis bien "possibilité", ce qui signifie que cela peut rester du domaine du possible, et non du réalisé).

    Situons nous donc à ce niveau : nous disposons de la vérité du cogito et de la métaphysique, de la Mathesis, de la physique... nous tentons maintenant de parvenir à la vérité sur ce qui s'est passé le 11 septembre 2001 à New York.

    Bien entendu chacun a son idée sur la question, l'auteur de ces lignes comme les autres... mais l'expérience nous apprend que bien des opinions divergentes, voire contradictoires, existent à ce propos, et qu'elles ne sont pas toutes le fait de vieux chevaux de retour "pseudo-comiques" du show biz ou de connes hystériques qui à l'occasion d'une remise de prix à Hollywood se lâchent complètement, pour se faire de la publicité...

    il existe des gens normaux, qui sincèrement remettent en cause la version "officielle"...certains mettent en doute le fait que ce soit Al Qaida les responsables, d'autres disent que c'est Ben Laden mais qu'il a été manipulé par le Mossad ou la CIA, d'autres encore que c'est la CIA qui a tout manigancé, et certains vont jusqu'à mettre en doute que des avions sesoient réellement écrasés sur les tours ou sur le Pentagone...

    Nous n'avons pas à les juger: ce n'en est pas ici le lieu !

    fidèle à notre attitude "cartésienne" nous nous bornons à observer le fait suivant : en tout cas, il y a quelque chose que personne ne remet en cause, c'est que :

    1 il s'est réellement passé quelque chose d'extrêmement grave, concernant le devenir de toute l'humanité, le 11 septembre.

    2 ces évènements ne concernent pas prioritairement les papous ou les esquimaux, mais bien les trois "civilisations" monothéistes : chrétienne (USA et Europe), juive (Israel) et musulmane.

    Certes on peut discuter longtemps (éternellement même, si les passions politiques et religieuses s'en mêlent) sur le fait de savoir qui sont les bons et les victimes, et qui les méchants agresseurs ou manipulateurs. Mais personne ne nie que ces évènements tragiques ne soient liés principalement à l'existence d'Israel et aux rivalités entre christianisme, Islam et judaïsme.

    Ceci n'est d'ailleurs pas propre au 11 septembre : pour prendre un autre exemple, celui du Cachemire, personne ne nie que cela ne concerne principalement les rivalités ancestrales entre hindouisme et Islam.

    Le beau film de Paul Greengrass, "United 93" ("Vol 93") , met bien en évidence ce qui est en jeu ce jour là, et qui touche aux passions religieuses, qui encore une fois n'ont rien à voir avec le Dieu vérace, le Dieu des philosophes et des savants; comme le dit si bien Brunschvicg:

    "Il ne nous est plus accordé de nous refuser au spectacle de l'Histoire: plusieurs religions semblables à la nôtre, toutes escaladant le ciel... et par leur multiplicité se condamnant toutes à demeurer déchues de leur espérance, sauf une sans doute, une peut être, et laquelle ?"

    qui aura le dernier mot ? le camp des meilleurs égorgeurs ? celui des meilleurs constructeurs de missiles nucléaires ? ou bien les fourmis , les puces et les termites ?

    Rappelons nous le déroulement du film de Paul Greengrass, lorsque dans l'avion les terroristes se préparent à "passer à l'action" : on  voit leurs lèvres s'agiter silencieusement, leurs mains se tenrdre dans l'attitude de la prière.

    De même, à la fin, lorsque les passagers se décident à lancer une attaque désespérée qui finalement fera que l'avion s'écrasera au sol, les deux "camps" prie leur "dieu", chacun le sien : les chrétiens (les passagers) récitent le "Notre Père", les musulmans (les quatre terroristes) récitent des sourates...

    Les uns disent : "que ton Nom soit sanctifié, que ton Règne arrive", et les autres disent, en arabe,  à peu près la même chose...et pourtant ils disent des choses contradictoires, puisque ce que chacun veut dire, implicitement mais réellement, c'est : "fais que ce soit nous les gagnants, et ceux d'en face les perdants".

    Lorsque l'un des terroristes dit à son chef : "débarrassons nous de l'hôtesse, nous n'avons plus besoin d'elle", puis, après avoir eu l'assentiment du chef, l'égorge, il dit "Au nom de Dieu " !

    Mais quel "Dieu" est ce là ? ce "dieu" au nom duquel on égorge une femme innocente qui ne faisait que son travail ? et même si elle était coupable de quelque chose d'ailleurs... de quel droit la tuer sans jugement ?

    Le même "chef du commando", lorsqu' il prend les commandes de l'avion et que celui ci descend en piqué, se met lui aussi à prier "Dieu" : "A Toi je suis soumis, je dépends de Toi !"

    et lorsqu'il s'aperçoit que l'avion se redresse, il est clair dans son esprit que "Dieu" l'a écouté, et lui permet de continuer jusqu'à la victoire finale...

    seulement, quelques minutes après, quand il se rend compte que les passagers attaquent, et qu'il va manquer 20 minutes , il se remet à douter, et apostrophe "Dieu" : "c'est Toi qui m'as mis dans cette voie, et maintenant Tu fais en sorte que je ne puisse aller jusqu'au but..."

    Non nous ne prendrons pas "parti" (tout en comprenant bien que notre atttitude puisse scandaliser certains, beaucoup même ), nous resterons fidèle à notre attitude de départ.

    mais ce que nous pouvons affirmer, après ce bref passage en revue, c'est que ce Dieu d'Abraham, ce Dieu que prient les uns et les autres, ne peut pas être Dieu !

    à moins d'être le dieu de ceux qui resteront : les puces, les fourmis, et les cafards, une fois que tous ces "purs croyants" auront fait leur office.

    ou bien peut être le "Dieu des mouches" du beau livre de William Golding , Sa Majesté "Baal zeboub" ??

    Dieu, le Dieu-Vérité, le Dieu des philosophes et des savants, ne peut pas être un Dieu qui intervient dans l'Histoire humaine...

     il reste que l'interrogation de Brunschvicg il y a 80 ans demeure aujourd'hui plus valable que jamais :

    "Dira-t-on
    que nous nous convertissons à l'évidence du vrai lorsque
    nous surmontons la violence de l'instinct, que nous refu-
    sons de centrer notre conception du monde et de Dieu
    sur l'intérêt du moi ? ou sommes-nous dupes d'une ambi-
    tion fallacieuse
    lorsque nous prétendons, vivants, échapper
    aux lois de la vie, nous évader hors de la caverne, pour
    respirer dans un monde
    sans Providence et sans prières,
    sans sacrements et sans promesses ? "

    et sa réponse aussi :

    "La clarté de l'alternative explique assez la résistance à
    laquelle se heurte une conception entièrement désocialisée
    de la réalité religieuse. Un Dieu impersonnel et qui ne fait
    pas acception des personnes, un
    Dieu qui n'intervient pas
    dans le cours du monde et en particulier dans les événe-
    ments de notre planète, dans le cours quotidien de nos
    affaires,
    « les hommes n'ont jamais songé à l'invoquer ».
    Or, remarque M. Bergson, « quand la philosophie parle
    de Dieu, il s'agît si peu du Dieu auquel pensent la plupart
    des hommes que, si, par miracle, et contre l'avis des
    philosophes. Dieu ainsi défini descendait dans le champ
    de l'expérience, personne ne le reconnaîtrait"

    Mais après le 11 septembre, nous savons quelque chose que Brunschvicg et Descartes ne savaient pas...ou, plus précisément, nous sommes sommés de ne pas en rester à l'interrogation et au constat désabusé faits par Brunschvicg dans les lignes au dessus, mais de choisir entre le Dieu  purement spirituel des philosophes et des savants, le Dieu de ce que nous appelons l'Islam des Lumières, et qui est La Religion universelle, ou encore la "vraie philosophie" dont parlait Spinoza, et qui n'est d'ailleurs pas une philosophie mais un philosopher, et le "Dieu" DES religions, celui que l'on prie de nous accorder la victoire à nous et la défaite à ceux qui sont contre nous...

    seulement, si nous choisissons, et NOUS choisissons, nous qui nous exprimons ici, la première alternative, nous nous engageons à bien plus !

    nous devons "appliquer", ce qui veut dire, du point de vue de l'Islam spirituel vivre jusqu'au bout, la parole admirable de Brunschvicg, toujours dans "Raison et religion", page 143 de la version pdf, et que ce Sage , par une générosité sublime, rattache à l'Evangile (mais nous savons aussi que le christianisme historique est la chronique des infidélités à l'Evangile purement spirituel, qui est celui que revendique l'Islam des lumières qui peut être appelé aussi un "christianisme de philosophes"):

    «les théologiens se sont attachés à distinguer entre la voie étroite : "qui n'est pas avec moi est contre moi" et la voie large : "qui n'est pas contre moi est avec moi"

    Mais pour accomplir l'Evangile, il faut aller jusqu'à la parole de charité, non plus qui pardonne, mais qui n'a rien à pardonner, rien même à oublier : "Qui est contre moi est encore avec moi"

    et celui là seul est digne de la prononcer qui aura su apercevoir, dans l'expansion infinie de l'intelligence et l'absolu désintéressement de l'amour, l'unique vérité dont Dieu ait à nous instruire»

    et moi ? et nous ? en sommes nous dignes ? en serons nous dignes un jour avant notre mort ?

    Telle est en tout cas l'unique "savoir", en forme de question, dont ce blog ait à "instruire" quiconque...

    et c'est bien assez !

     


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